Nom : Horoshi
prenom: Gabrox
age :(approximativement car il l'oublie toujours): 23 ans
Description:Gabrox mesure 2.10m pour 95 kilos, avec des cheveux brun couper court,, il à également de terrifiant yeux noir qui montre bien sa terrible stupidité en revanche il possède une musculature et un beau visage qui aurait put plaire au dame si il ne possédait pas aussi des tatouages tribaux sur tout le corps, ces dernier aurait put être beau si il avait était bien fait mais hélas pour mon prodigieux héros ce ne fut pas le cas.Il porte une armure en fer avec une cape lui donnant un pur style (c ce qu’il pense). Il possède également de nombreuse cicatrice sur le torse du à ces nombreux combat mais la plus terrible est celle dans son dos qui va du bas de sa nuque jusqu’en haut de sa hanche.
Elle provient d’un combat contre un mendiant aveugle, ce dernier souhaitait en effet que Gabrox lui donne une petite pièce mais celui-ci déteste donner son argent donc il refusa tout naturellement dans un torrent d’injure puis il s’en alla en pensant lui avoir appris politesse.
MAIS le mendiant furieux de s'être ainsi fait insulté, se leva attrapa son couteau et se jeta sur le dos du brave héros, après un instant de surprise Gabrox attrapa la tête du miséreux et la brisa comme une coquille de noix
caractere :Pas très intelligent mais ayant une force incroyable il à vécut un peu partout a cause de sa vit de mercenaire ce qui lui a donné une certaine ouverture d’esprit .
En effet à par pour les femmes, les enfants et tous les hommes qui ne lui ressemble pas il accepte toute les différences.
Il déteste l’eau car il ne sait pas nager, en fait il déteste tout simplement la nature et n’apprécie que les bourgades surpeuplé car pour lui c’est le signe que sont pillage lui rapportera un paquet d‘or.
Il déteste qu’on lui marche sur les pied et tue quiconque si essaye il n’a aucun respect pour les autres sauf pour les personnes qui font tout pour assouvir leur avidité d’or ou de pouvoir.
Les seules choses qu’il aime dans la vie c’est une bourse bien pleine (surtout s'il vient de la voler), une bonne beuverie se terminant par une bagarre, voir son épée dépasser du torse de son ennemie mais surtout voir une ville brûler un soir de pleine lune (eh oui c un grand romantique).
Il possède un très mauvais caractère et c’est un très mauvais perdant alors qu’il n’est doué en rien ce qui provoque inévitablement de nombreuse bagarre.
Pas très malin il est par contre d’une totale loyauté avec ces commanditaire, Loyal certe mais seulement parce qu'il est trop fainéant pour trahir, sauf si on ne le paye pas car là il devient très très méchant.
Dernier point il n’a aucune notion du bien et du mal IL tue femme et enfant s’il le faut.(vous l'avez peu être déjà remarquer)
Hisoire : (minimum 5lignes )Il a suivi un cursus somme toute assez classique; après une enfance déprimante à souhait, il a accompagné sa famille qui épisodiquement écumait (piller, violer, tuer) le pays de la terre, ce qui lui avait valu malgré son jeune âge (10 ans ) une flatteuse réputation de brute.
Puis il a vu son clan massacré sous ses yeux par un mystérieux cavalier à l'armure noire dont, à ses moments perdus, il cherchait à se venger.
Mené en déportation dans differentes prison, il eut tout loisir de cultiver sa musculature avant que des marchands d'esclaves ne le remarquent et ne le rachètent pour en faire un gladiateur dans une de ces petites arènes itinérantes qui sont la spécialité des terres du nord.
Il se perfectionna alors au métier des armes, et apprit le peu qu'il savait sur le monde avant de s'évader et d'embrasser la carrière de mercenaire dans les differents village qui peuple ce continent.
Il prit donc part a l'age de 15 ans à sa première guerre, un conflit aussi atroce que bref entre le pays de l'eau et celui du riz dont les enjeux étaient le trône bancal et la couronne en plomb d'un pays ridiculement petit.
Le destin et surtout la chance voulut qu'il choisisse le camp du vainqueur et c'est fièrement qu'il entra dans la capitale du pays en flammes, à la tête de la trentaine de bons à rien qu'on lui avait confiés.
Après une semaine de beuveries, l'esprit embrumé par le vin (c'est à dire à peine plus embrumé que d'habitude) et suite à un pari d'ivrogne, Gabrox succomba aux charmes par ailleurs sujets à controverse de la princesse Ynari, soeur du seigneur du pays vainqueur.
En effet elle n'est pas ce que l'on appelle une beauté, elle est plutôt ronde sans être vraiment grosse , un gros nez totalement disproportionné par rapport à son petit visage de porcelaine, une jambe amputée à partir du genou à cause d’une gangrène avancé.
Mais ce n’est pas sa qui va doucher son ardeur donc après qu'il lui eut offert d'inoubliables instants de volupté, il fut surpris par la garde qui ne lui laissa guère le temps d'expliquer que la belle ne lui avait pas fermé la porte (ce qu'en fait il n'avait pas vérifié, étant passé par la fenêtre), qu'elle s'était lascivement alanguie dans ses bras (après qu'il l'eut assommée, il est vrai) et qu'elle ne s'était pas explicitement refusée à lui (la pauvrette étant muette de naissance).
Quoi qu'il en soit, Gabrox sauta sans blessure de la plus haute tour du palais - soit, il était au premier étage - et s'en fut vers le nord où il savait trouver une Forêt qui lui fournirait, il y comptait, un abri.
Or il se trouvait que la dite Forêt avait connu des jours meilleurs.
Au temps jadis en effet s'étaient dressés là, tels autant de soldats immobiles, immence et éternels, des millions d’arbres géants aux lourdes branches chargées d'épines longues et noires et de chatons pelucheux, mais la main avide de l'homme, la mandibule vorace des insectes , à moins que ce ne fussent les pluies acides, avaient ruiné à jamais ces cathédrales de verdure dont il ne subsistait que troncs moisis et bosquets chenus.
Gabrox courait donc de toute la vitesse de ses jambes, et dieu sait qu'il pouvait courir vite dans les plaines glacées de sa terre natale, mais le plateau où il se trouvait était accidenté, couvert de divers résidus végétaux et il était pieds nus, car ses sandales étaient restées dans la chambre de la princesse. Le reste de ses vêtements aussi, d'ailleurs.
De toute manière, le plus piètre cavalier ira toujours plus vite que le meilleur des coureurs, et les Gardes qui le suivent savent, entre autres choses, monter à cheval. Gabrox atteignit un providentiel vallon dont il dégringola plus qu'il ne dévala le flanc escarpé et - miracle - boisé. Les chiens l'y suivirent bientôt.
En bas dans le ravin, coulait un ruisseau, ce qui est assez cohérent. Les chiens s'arrêtèrent sur la rive, traversèrent dans les deux sens, coururent en rond et gémirent en attendant que leurs maîtres cavaliers arrivent.
- Il a dû descendre le long du ravin, sire, pour troubler les chiens, fit le capitaine de la garde, martial.
- Ou bien le remonter, nota le seigneur du pays de l‘eau, maussade. Il se serait bien passé de cette expédition punitive dans la campagne, il y avait tant à faire en ces lendemains de victoire. Heureusement qu'il pouvait compter sur un bourreau dévoué et dur à la tâche.
- Habituellement, sire, les animaux sauvages pris dans une telle situation descendent les rivières, ils vont plus vite.
- Et ils se font prendre car tous les chasseurs connaissent le coup. Notre homme est rusé, il a du souffle, il a du aller en amont pour nous tromper. En avant!
Et les chevaux repartirent dans de grandes gerbes de boue et d'eau glacée.
Hataki était un aristocrate volontaire et intelligent, mais avait cependant un défaut, bien excusable vu son métier : il méprisait au plus haut point les gens du commun, auxquels il se mêlait le moins possible, préférant frayer avec les gens de sa caste car parfois ils se lavent.
Ainsi durant la guerre éclair qui l'avait porté sur le trône, avait-il peu fréquenté sa propre armée, et encore moins les mercenaires étranger qu'il avait engagé.
L'eut-il fait qu'il se fut vite rendu compte d'une étrange particularité anatomique: la cervelle de Gabrox était aussi lisse que son biceps était noueux.
Il avait en effet suivi sans se poser de question tout à la fois son instinct et la pente, ce qui l'avait conduit au bord d'un lac. L'endroit était inquiétant, rien ne poussait sur la berge boueuse qu'on eut pu appeler plante, une brume matinale flottait au-dessus de l'eau, lui donnant une teinte grisâtre.
A un quelque mètres des premières vases émergées, une barque minuscule au bois noirci par la putréfaction servait de support à un personnage voûté, entièrement recouvert d'un manteau noir et tenant un long bâton dans sa main gantée. Sa capuche baissée ne laissait rien voir de son visage, et sans doute était-ce mieux ainsi.
Gabrox sauta prestement sur la barque d'une stabilité étonnante pour sa taille, et ordonna au passeur de sa puissante voix:
- Là-bas !
Il désignait l’autre côté du lac d'un index impérieux.
Et le passeur appuya sur son bâton, propulsant son embarcation à une vitesse surprenante. Ils n'étaient déjà plus à portée de flèches lorsque les cavaliers et leurs chiens déboulèrent sur la rive et Gabrox, debout à l'arrière du frêle esquif, les salua de son regard de fer et d'un vigoureux bras d'honneur.
Après une longue traversé il prit la direction de la ville la plus proche pour y faire un bon somme et y quérir la bagarre. Ainsi se termine l’une des très nombreuses aventures de Gabrox ……
Ensuite pendant plusieurs années il continua sa vie de dangereux mercenaire avec quelques bagarres dans les bars et aussi des petits meurtres lorsqu'il s'ennuyer
Village desirer : KIRI